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Ryu Gwansun

Ryu Gwansun (le 16 décembre 1902 - le 28 septembre 1920), en autre nom Yu Gwansun ou Yoo Kwan-Soon, une héroine coréenne, martire. Elle était une des organisateurs des démonstrations contre le pouvoir colonial japonais en 1919 en Corée, dans le territoire de Chungcheong du sud, qui sont devenues connues sous le nom de «mouvements du premier mars».

Le père de Ryu Gwansun, Ryu Jung Kwon et sa mère, Cee So Jade étaient des personnes cultivées. Parmi leurs 5 enfants, Ryu Gwansun était la deuxième fille. Ses parents influencaient en grande partie ses pensées.

En 1919, Ryu a été étudiant du Lycée Ewha des Femmes au Séoul où elle pouvait suivre dès le début les «mouvements du premier mars». Sa foi profonde en Dieu et les enseignements métodique du Lycée Ehwa lui ont donné du courage d’agir toujours sagement.

Le gouvernement japonais, après avoir décidé en 1907 de fermer toutes les écoles coréennes, Ryu Gwansun est rentrée à sa propre ville, à Jiryeong-ri (aujourd’hui : Yongdu-ri).

Avec sa famille, elle a commencé à mener l’humeur commune contre l’occupation japonaise. Elle a aussi organisé une démonstration où même, des citoyens des villes avoisinantes de Yeongi, de Chungju et de Jincheon ont participé aussi. La démonstration a été planifiée à 9 heures du matin du 01. 04. 1919. à la place de la marché de Awunae. Environ 2000 démonstrateurs ont crié en même temps : «Vive longtemps, l’indépendance coréenne!» (“대한 독립 만세”).

La police coréenne a été alarmée sur lieu aupres 1 heure qui a arrêté Ryu Gwansun et beaucoup d’autres. Les parents de Ryu Gwansun ont été exécutés impitoyablement par la police, encore pendant la démostration. Lors de l’interrogation de la police, on a proposé à la fille, si elle témoigne contre ses compagnons, vu son âge, elle sera absoudre. Après que Ryu Gwansun a contrarié, elle a été en garde à vue pendant un court temps, puis le tribunal de Kyung Seung l’a condamné à emprisonnement de 5 ans, au prison de Seodaemun, le 09. 05. 1919. La fille n’était pas contente du jugement et a tourné à un tribunal plus haut où le 30. 06. 1919. on a diminué le jugement à 3 ans.

Même, pendant sa captivité, Ryu Gwansun contuinuait à manifester pour la liberté coréenne, c’est pourquoi les policiers japonais l’ont hanté plusieurs fois, c’est la raison pour laquelle elle est devenue enfin la victime de la violence le 28. 09. 1920. Ses mots derniers sont connus jusqu’aujourd’hui : «Le Japon doit échouer. On peut cueillir mes ongles, couper mon nez et mes oreilles, casser mes limbes. Je peux tolérer la douleur. Mais, que je perde mon pays, je ne peux pas tolérer. Ma seule tristesse, que je n’ai qu’une seule vie que je peux donner pour mon pays.»

Après sa mort, le tribunal japonais a refusé d’abord la diffusion de son corps. Finalement, on a assigné son corps aux directeurs de son école précédente, Lulu Frey et Jeannette Walter. Selon des fausses nouvelles, son corps a été coupé en morceaux que Walter a clairement refusé.

Après sa mort, en 1962, elle a été honoré avec le prix de valeur de l’Ordre de l’Indépendance.

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